La réussite en classe avec les échecs, pour prévenir l'échec scolaire, c'est possible. Un nouvel exemple à Cahors à l'école Zacharie-Lafage. Deux classes de CM1 de Zacharie-Lafage ont reçu une initiation d'échecs hebdomadaire de 45 minutes réalisée sur le temps scolaire. Le but : promouvoir les échecs comme facteur de réussite scolaire et d'animation socio-culturelle.
L'intervenant est Thierry Montagne témoigne. A son sens les échecs développent plusieurs compétences. « C'est très bon pour la concentration, la capacité à anticiper ce qui va se passer, de façon plus concrète la position dans l'espace. Il y a une stratégie, il faut définir un plan et s'y tenir, on peut jouer dès la grande section de maternelle avec des petits jeux simples. On ne joue pas contre quelqu'un mais avec quelqu'un et avec soi-même, il n'y a pas d'échappatoire. Un enfant peut jouer avec un adulte. Le principe d'égalité est très fort aux échecs puisque les enfants disposent des mêmes pièces et en même quantité et jouent alternativement. L'enseignant, ou l'adulte n'intervient jamais de façon subjective». Un bel exemple à découvrir ce matin sur La depeche.fr sous la plume de Marielle Merly.
vendredi 22 mai 2009
Les échecs utilisés contre l'échec scolaire
La réussite en classe avec les échecs, pour prévenir l'échec scolaire, c'est possible. Un nouvel exemple à Cahors à l'école Zacharie-Lafage. Deux classes de CM1 de Zacharie-Lafage ont reçu une initiation d'échecs hebdomadaire de 45 minutes réalisée sur le temps scolaire. Le but : promouvoir les échecs comme facteur de réussite scolaire et d'animation socio-culturelle.
L'intervenant est Thierry Montagne témoigne. A son sens les échecs développent plusieurs compétences. « C'est très bon pour la concentration, la capacité à anticiper ce qui va se passer, de façon plus concrète la position dans l'espace. Il y a une stratégie, il faut définir un plan et s'y tenir, on peut jouer dès la grande section de maternelle avec des petits jeux simples. On ne joue pas contre quelqu'un mais avec quelqu'un et avec soi-même, il n'y a pas d'échappatoire. Un enfant peut jouer avec un adulte. Le principe d'égalité est très fort aux échecs puisque les enfants disposent des mêmes pièces et en même quantité et jouent alternativement. L'enseignant, ou l'adulte n'intervient jamais de façon subjective». Un bel exemple à découvrir ce matin sur La depeche.fr sous la plume de Marielle Merly.
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Outre le + qu'apportent les Echecs d'un point de vue pédagogique, malgré la convention Education Nationale / FFE, cette discipline ne pourra véritablement se mettre en place dans les écoles que sur la conjugaison de 3 facteurs. Avoir un enseignant ou un intervenant porteur du projet, Intégrer les Echecs au projet d'école, Obtenir un minimum de moyens financiers pour la mise en place (achat du matériel). Les partenaires ne sont pas toujours au rendez-vous mais ça avance. Nous ne pouvons que saluer les initiatives mises en place qui ne demandent qu'à se généraliser... un travail dans le temps lancer depuis + de 30 ans !!!
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