De retour de Nîmes, notre ami montpelliérain Joël Léost nous signale un intéressant éclairage du Midi Libre sur l'importance du mental dans les compétitions d'échecs.
Un mental à toute épreuve aura permis à Sophie Milliet (photo F. Andrès) et Vladislav Tkachiev de remporter chacun le titre de champion de France, à l'issue d'un tournoi d'une quinzaine de jours au parc des expositions de Nîmes. L'un et l'autre n'en sont pas à leur premier coup d'éclat. Si le titre de Vladislav remonte à 2006, la reine Sophie a conservé sa couronne déjà acquise l'an dernier.
Nul doute que le regard bleu acier de Vladislav Tkachiev a pu impressionner ses adversaires et jouer en sa faveur dans ce tournoi. On le croit aisément lorsqu'il raconte qu'avant tout, il faut pour vaincre « un tempérament de tueur, influençant les autres ». « Je ne suis pas venu ici pour participer, je suis venu pour gagner. Même si je reconnais que j'ai eu de la chance », poursuit celui qui joua (un nul, une défaite) contre Garry Kasparov en 2000, dans un français encore teinté d'un fort accent russe...
L'article complet est à lire dans le Midi Libre sous la plume de Clémence Pierre
lundi 24 août 2009
Les deux champions de France d'échecs l'emportent au mental
De retour de Nîmes, notre ami montpelliérain Joël Léost nous signale un intéressant éclairage du Midi Libre sur l'importance du mental dans les compétitions d'échecs.
Un mental à toute épreuve aura permis à Sophie Milliet (photo F. Andrès) et Vladislav Tkachiev de remporter chacun le titre de champion de France, à l'issue d'un tournoi d'une quinzaine de jours au parc des expositions de Nîmes. L'un et l'autre n'en sont pas à leur premier coup d'éclat. Si le titre de Vladislav remonte à 2006, la reine Sophie a conservé sa couronne déjà acquise l'an dernier.
Nul doute que le regard bleu acier de Vladislav Tkachiev a pu impressionner ses adversaires et jouer en sa faveur dans ce tournoi. On le croit aisément lorsqu'il raconte qu'avant tout, il faut pour vaincre « un tempérament de tueur, influençant les autres ». « Je ne suis pas venu ici pour participer, je suis venu pour gagner. Même si je reconnais que j'ai eu de la chance », poursuit celui qui joua (un nul, une défaite) contre Garry Kasparov en 2000, dans un français encore teinté d'un fort accent russe...
L'article complet est à lire dans le Midi Libre sous la plume de Clémence Pierre
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